Mamie Jeanne : le fait main, un geste simple pour sauver la planète

Tout commence avec une quête...

Dans un monde où tout va trop vite, où le stress est devenu la norme et où l’équilibre semble un luxe inaccessible, une question s’est imposée : et si le bien-être était une expérience simple, naturelle et accessible à tous ?

Un besoin personnel devenu une mission universelle

Nous avons tous ressenti ce besoin urgent de faire une pause, de trouver un moyen de nous recentrer et de retrouver l’essentiel. Mais face aux solutions compliquées, aux rituels contraignants et aux produits chimiques envahissants, il manquait une alternative simple, naturelle et efficace.

C’est ainsi qu’est née Mamie Jeanne une marque pensée pour celles et ceux qui veulent ralentir, respirer et se reconnecter à eux-mêmes.

Mamie Jeanne.

Elle ne parlait pas de développement durable.
Elle le vivait.
Chaque jour, avec ses mains, son jardin, son cœur.

Dans sa petite maison, il y avait toujours une odeur douce dans l’air.
Parfois celle de la lavande qu’elle venait de faire sécher.
Parfois celle du romarin qu’elle avait cueilli au lever du jour, encore perlé de rosée.

Mamie Jeanne faisait ses bougies elle-même.
Des bougies simples, parfumées avec les plantes de son jardin.
Du thym, de la menthe, de la sauge…
Chaque flamme racontait une histoire. Chaque senteur apaisait l’âme.

Elle fabriquait aussi ses savons.
Un mélange de patience, d’huile, de fleurs séchées et d’amour.
Ils sentaient la nature, la propreté vraie, celle qu’aucun produit chimique ne remplacera jamais.

Elle distillait ses plantes comme d’autres distillent des souvenirs.
Elle en gardait les essences, les infusions, les arômes.
Pour parfumer la cuisine, pour apaiser le corps, pour soigner les petits maux sans faire de bruit.

Ses boissons avaient le goût de la terre, de l’eau, du soleil.
De la vie simple et précieuse.

Mamie Jeanne n’achetait presque rien.
Elle créait, elle transformait, elle partageait.
Et tout ce qu’elle faisait à la main, elle le faisait avec le cœur.

Aujourd’hui, on court après le temps.
On achète ce qu’on pourrait faire.
On gaspille ce que la Terre met des mois à faire pousser.

Mais Mamie Jeanne nous montrait une autre voie.
Une voie douce, lente, respectueuse.
Une vie où chaque geste compte, où chaque chose a une âme.

Comme le dit Yann Arthus-Bertrand, il faut ralentir, consommer moins, revenir au fait main, à la beauté des choses simples.

Ce n’est pas un retour en arrière.
C’est un pas vers l’avenir.
Un avenir où l’on cueille au lieu de produire à outrance.
Où l’on distille au lieu de polluer.
Où l’on crée avec tendresse, au lieu de consommer sans fin.

Mamie Jeanne n’est peut-être plus là.
Mais ses savons, ses bougies, ses plantes, ses gestes…
restent en nous comme un rappel essentiel :

Il est encore temps de faire autrement.
Il est encore temps de faire mieux.
À la main. Avec le cœur. Pour la Terre.🌿✨